Longueteau Prélude est le produit d’un assemblage de rhums agricoles élevés exclusivement en fûts de chêne français. Le rhum a été mis en bouteille sans réduction de son degré d’alcool. C’est un « brut de fût ». Au nez, on entre sur un boisé moelleux, avec des fruits à coque. La canne est bien conservée, elle est poivrée et relevée d’un léger zeste de citron vert. Différents parfums s’enchaînent, des épices douces et puis des végétaux. En bouche, le boisé est accrocheur, Il est jeune mais bien choisi et distingué : de la vanille, de la coco, comme s’il s’agissait d’un élevage en fût de Bourbon, alors que l’on parle bien de fût de Cognac. La texture est donc tout à fait plaisante en entrée, malgré cette relative jeunesse. La canne est doucement épicée, comme du poivre et de la cannelle sur une pomme au four. La finale est brodée de noyau de cerise ou de prune, avec une résine de bois frais.
Elevage sur lies fines, fermentation 50% en barriques/Foudres, 50% en cuves inox. Arômes variés de noisette fruits exotiques agrumes. Volume fraîcheur et rondeur en bouche pour un équilibre remarquable
Profond avec beaucoup de pierres et 3% de matière organique et argilo-limoneux. Les courants de l’océan pacifique ont un effet positif sur les vignes car cela refroidit la vallée.
C’est un vin aux notes fruitées de cassis et de fraises qui évoluent en notes de poivre noir, feuilles de tabac, et chocolat.
La bouche est souple, les tanins sont ronds. Ce vin est très facile à boire et se distingue par son grand équilibre et finale fraîche.
Lyre : jeu de mot pour exprimer une conduite du vignoble. Conduite de la vigne sur deux axes de palissage en forme de V vers le dessus. La lyre forme deux rideaux de feuillage bien aérés. Elle offre ainsi une meilleure exposition à la lumière. Par cette disposition, la progression des maladies (oïdium et mildiou) est limitée. Ces 60 hectares de vignes est le plus vaste conduite en lyre de France.
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